La galerienomade à Arles est heureuse de présenter « Petites œuvres entre amis… » avec les séries
« Fragments d’intimité » de Brigitte BAUER
« Mood Swing » de Mathilde GANANCIA
« Paysages – Tourments » de Rose LEMEUNIER
des œuvres de femmes donc, œuvres un peu complexes, un peu intimes à petits prix pour finir l’année.. accompagnées d’autres glanées ça et là…
Exposition du 7 décembre au 31 janvier 2017
l0 partir du 1er janvier, les vendredi et samedi de 12h à 19h30
38, rue du 4 septembre à Arles
http://lagalerienomade.fr
INVITATION à venir rencontrer les artistes,
et à partager un « glögg » suédois
le Samedi 17 décembre de 12h à 14h
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- Brigitte BAUER – « Fragments d’intimité » – Alexandrie, Egypte
« Vus de dos, c’est à travers ces couples que l’on aperçoit la ville : des couples, partout, assis sur des bancs au bord de mer, dans les jardins publics, sur les murets de la corniche. Des couples partout, toute la journée, encore plus en fin de journée, bien sûr. Des couples jeunes, mais pas toujours. Bulles d’intimité au milieu de l’agitation de la ville, ils sont là, penchés l’un vers l’autre, un peu ou à peine. Ils se regardent, ou regardent la mer, ou rien, tournant le dos au monde. Ilots dans la foule des rues. Paradoxe apparent : le choix de l’espace public pour trouver une intimité que l’intimité familiale ne permet pas. Attitudes privées dans un espace qui est public.( …) »
Née en Allemagne, Brigitte Bauer vit et travaille à Arles depuis 1987.
Diplômée de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles et de l’Université Aix-Marseille, elle enseigne la photographie à l’École Supérieure des beaux-arts de Nîmes depuis 2005.
Après le développement d’une culture du paysage dans des premières séries de photographies, ses recherches s’orientent aujourd’hui davantage vers les territoires du quotidien voire de l’intime, que ce soit dans l’espace urbain, rural ou familial.
Ses photographies font régulièrement l’objet d’expositions en France et à l’international et sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées.
La série « Fragments d’Intimité » a été présentée aux « Rencontres Castelfranc » en 2015 et à la Graineterie à Houilles en oct/nov 2016 dans le cadre de l’exposition « Microscopie du banc ».
Cet été, l’artiste participa à l’événement photographique « Et Port de Bouc s’est éCriée » dans laquelle l’ensemble des exposants étaient invités à travailler autour des 150 ans de la ville. Elle y présenta la série « Le territoire du bord »
Ici à la galerie nomade, 4 photographies couleur 30×30 cm encadrées –
- Mathilde GANANCIA « Mood swing »
À travers des installations, des textes, des peintures et des supports numériques, Mathilde Ganancia a développé un corpus d’œuvres hétéroclites dans lequel les paradoxes de notre temps sont interprétés et critiqués.
S’adaptant aux contextes et à certaines postures qu’elle observe dans la société, elle teste, s’infiltre et exagère des comportements afin d’en extraire des réalités complexes et potentiellement polémiques.
Après l’obtention de son diplôme aux Beaux-Arts de Paris en 2013, Mathilde Ganancia part vivre et travailler à Londres pour la réalisation de projets collaboratifs en vidéos et performances. Invitée en conférence au Wexford Art Center en Irlande en 2015, elle y présente une première exposition l’année suivante. Ses vidéos ont fait l’objet de publications et de projections au Royaume Uni, en Irlande et aux Etats-Unis.
En 2016 elle obtient une bourse pour participer à la résidence Skowhegan aux Etats-Unis avant de revenir vivre et travailler à Paris.
Actuellement elle expose dans le cadre de l’exposition « Le nouveau monde industriel » à Boissy-le-Chatel (commissariat Nicolas Bourriaud ) et vient de terminer l’exposition « Cet air, vous l’entendez là ? ». à Genève (Commissariat Eudoxie Humblot) et « That’s what I like about you » à l’espace d’art Glassbox à Paris.
À la galerie, 2 peintures réalisées en Irlande et rattachées à la série « Mood Swing » dans laquelle une série de textes évoquent des missions, « comme une vie potentielle à jouer, (…) des états émotionnels pouvant construire à un cahier des charges générateur de peintures.
2 huiles et acryliques sur toile « Le garçon » 90×120 cm et « La baladeuse » 120×110 cm –
- Rose LEMEUNIER « Paysages – Tourments »
« Les œuvres de Rose Lemeunier peuvent être appréhendées comme la matérialisation de souvenirs liés au paysage et à ses transformations.
Il s’agit d’interroger le passage à la modernité à travers les télescopages et superpositions d’images et de paysages passés et présents, tour à tour humains ou désincarnés (…) » (Eve Lewy-Bertaut).
Après une formation aux Beaux-Arts du Mans puis à Rennes, Rose Lemeunier s’installe à Avignon où elle exerce la profession de professeur de sculpture en parallèle à ses recherches visuelles sur la mémoire du paysage, eux-mêmes fortement imprégnés de références à l’histoire de l’art.
Ses oeuvres font partie de collections d’artothèques comme de collections privées. Elle expose actuellement à Marseille à l’Espace d’exposition GT Mund’Art et vient de terminer l’exposition « 8 et demie » à la galerie Meyer et à la galerie Lyeux communs à Tours
À la galerie, 4 « Paysages – Tourments » – Travail au scalpel sur photographie – 21×29,7 cm encadrés.
Autres oeuvres glanées à prix de fin d’année à partir de 100 euros jusqu’à 1 100 euros (diaporama ci-dessous et photographies sur demande – Oeuvres de Batiste Chave, Evor, Fabien Boitard, Harvey Daniels, Jean-Nicolas Gaillard, Thi Thanh)
Exposition du 7 décembre au 31 janvier 2017
du mercredi au samedi de 12h à 19h30
les vendredi et samedi à partir du 1er janvier
38, rue du 4 septembre à Arles
http://lagalerienomade.fr
INVITATION à venir rencontrer les artistes,
et à partager un « glögg » suédois
le Samedi 17 décembre de 12h à 14h
lagalerienomade.fr 